Les hommes sont absents de l'école québécoise : c'est un fait.
Dans une école sur quatre, il n'y a pas d'enseignant masculin dans toute l'école. Le seul homme de l'école est éducateur au service de garde, prof d'éduc ou concierge. N'est-ce pas préoccupant? Dans ma formation, nous sommes 8 gars pour 120 filles. Un ratio qui tend vraisemblablement à s'éloigner de plus en plus de la parité, car celui-ci était plutôt de l'ordre de 20/120 voilà dix ans.
Pourtant, rien n'est fait pour encourager davantage les garçons à s'engager dans la profession. Quelle est l'origine de cette inaction populaire? Qu'est-ce qui nous empêche de collectivement poser des gestes pour renverser la tendance? Pourquoi souhaiter qu'il y ait davantage d'hommes enseignants dans nos écoles primaires?
Cela m'inspire le sujet du nouveau gadget que j'inaugure aujourd'hui, le sondage maison.
Allez donc voter à la question de cette semaine :
Devrions-nous mettre en place des programme incitatifs afin d'augmenter le nombre d'hommes en enseignement au primaire?
Bonne semaine.
moi ca m'inquiète, idéalement, le jour où j'ai des kids, je veux autant des modèles masculins que féminins pour leur éducation, comme à la maison, avec des échanges et des opinions.
RépondreEffacer- L'homme a-t-il moins de patience que la femme ?
RépondreEffacer- Y a-t-il encore une pensée... que l'homme doit gagner plus que la femme ?
- Il faut dire aussi que le salaire n'est pas élevé !
- Il faut revaloriser le métier en général.
- Instaurer un système de gain supplémentaire suite à une visite de l'inspection et d'un travail bien fait et inversement